| | harry potter et les cicatrices du passé | |
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victoire Maraudeur à Serpentard
Nombre de messages : 325 Age : 38 Localisation : azkaban et je suis innocente! Date d'inscription : 11/12/2004
| Sujet: harry potter et les cicatrices du passé Sam 11 Déc - 16:50 | |
| voilà une petite fic que j'ai déjà mise sur d'autres sites mais bon, comme ça je pourrais avoir votre avis dessus. C'est ma vision du sixième tome qui n'a, j'en suis sûre, aucune chance d'être celle de jk rowling. vous comprendrez plus tard si vous la lisez. le chapitre 1 est assez court (contrairement aux suivants, je suis en train d'écrire le 14) mais pour moi il est important car habituellement, quand j'écris je n'arrive pas à éviter un ton ironique qui est sans doute une partie de ma personnalité... et là, ce ton n'apparaît que très peu, enfin c'est ce qu'il me semble. bon, comme j'ai de l'avance dans mes chapitres, si ça vous plaît je suis prête à mettre les suivants très vite. bonne lecture!
HARRY POTTER ET LES CICATRICES DU PASSE.
Chapitre 1 : Mélancolie.
Mélancolie quand dans un soupir la nuit tombe… Harry s’étonna que cette phrase lui soit venue à l’esprit. On aurait dit un vers, un alexandrin même. Pourtant, il ne lui semblait pas avoir lu de poèmes depuis très longtemps. En fait, pas depuis qu’il n’allait plus à l’école des moldus. Mais ce vers représentait bien son état d’esprit. La mélancolie. Certains disaient que c’était une maladie. En tout cas, il n’y connaissait pas de remède, pas même magique. Peut être qu’avec un petit sortilège d’allégresse ? Mais il n’avait pas le droit de se servir de la magie, il était encore un sorcier de premier cycle… Il ne restait plus qu’à espérer que cette année, il ne croiserait pas de détraqueurs dans la rue car sinon, il serait bien incapable de penser à un souvenir heureux et donc de produire le moindre patronus.
Harry ouvrit la fenêtre. La nuit, les étoiles… Sirius. Par une association d’idée dépourvue de la moindre originalité, la nuit ramenait immédiatement ses pensées vers son parrain. Son parrain qui était mort pour le sauver. A cause de lui. Tout était de sa faute, il le savait. Si seulement il avait écouté Hermione, si seulement il ne se prenait pas pour un héros… Que ne donnerait-il pas pour faire revenir Sirius ! Mais c’était impossible. Il était mort. Quoi qu’ait bien pu être ce voile, il n’y avait pas le moindre doute, Sirius n’était plus de ce monde. Sinon, il ne l’aurait pas abandonné ! Et il se retrouvait seul. Encore plus seul. Et pas seulement à cause de la mort de Sirius, mais à cause de la prophétie. Il n’avait rien dit à Ron et Hermione et maintenant il lui était impossible de communiquer avec eux. Ordre de Dumbledore ! Aucun hibou ne devait arriver ni partir du 4, Privet Drive ; question de sécurité ! Il avait même dû se séparer d’Hedwige. Bien sûr il faisait confiance à Hermione pour s’en occuper mais la chouette lui manquait. Après tout, cela faisait cinq ans qu’elle était la compagne fidèle de ses étés solitaires. Maintenant, il était seul, vraiment seul ! Et les membres de l’Ordre qui le surveillait à tour de rôle n’y changeaient rien. Il n’aurait même pas dû les repérer. Mais ces journées étaient tellement bien remplies qu’il avait fini par ne rien trouver d’autres à faire que d’essayer de distinguer ses gardiens, même sous une cape d’invisibilité. Non pas qu’il put voir à travers comme l’œil magique de Maugrey mais il les sentait. Il arrivait à sentir n’importe quelle présence magique à cent mètres à la ronde. Au moins comme cela, il le sentirait venir. Voldemort. Quand il viendrait le tuer ! Il y avait des moments où cette idée ne le gênait pas. Mourir et retrouver les siens. Mais il n’avait pas le droit. Il devait vivre ! Vivre et tuer Voldemort ! Il était le seul à pouvoir le faire, ils comptaient tous sur lui… C’était injuste ! Il n’avait jamais demandé à être un héros ! Il voulait juste être un adolescent comme les autres, avec des parents et un avenir où ne pesait pas sur sa tête une menace de mort ou un meurtre ! Pourquoi Voldemort l’avait-il choisi lui ! Lui et pas Neville ! Parce qu’il avait fini par comprendre. La prophétie concernait indifféremment Neville ou lui, mais c’était Voldemort qui avait choisi. Qui l’avait choisi ! Et maintenant, il n’y avait plus aucun doute. C’était lui qu’il avait marqué, comme un égal ! Quelle blague ! Voldemort était un maître en magie noir et lui, il était juste un étudiant en magie qui attendait les résultats de ses examens. Les buses ! Il se demandait bien s’il les avait réussies et surtout comment il le saurait puisqu’il n’avait pas le droit de recevoir du courrier ! Peut être que Dumbledore ne comptait les lui donner que lorsqu’il prendrait le Poudlard Express ? De toute façon, Harry s’en fichait. Comment les buses pouvaient-elles avoir de l’importance alors que Sirius était mort ?! Comment quoi que ce soit pouvait-il avoir de l’importance ?! | |
| | | victoire Maraudeur à Serpentard
Nombre de messages : 325 Age : 38 Localisation : azkaban et je suis innocente! Date d'inscription : 11/12/2004
| Sujet: Re: harry potter et les cicatrices du passé Sam 11 Déc - 16:51 | |
| Harry vit un chat se faufiler dans la haie qui séparait le jardin des Dursley de celui de leurs voisins. Il reconnut Pompon, le chat d’une voisine, une Cracmol ! Harry n’arrivait toujours pas à y croire. Mrs Figg, une Cracmol ! Et lui qui avait toujours crû que c’était une vieille folle n’ayant que ses chats pour lui tenir compagnie et chez qui il avait passé des vacances détestables ! Encore une chose que Dumbledore lui avait cachée. Oh, ce n’était certainement pas la plus importante mais cela en disait assez long sur tout ce qu’il lui cachait. Certes, en juin, Dumbledore lui avait révélé de nombreux secrets et des secrets si terribles qu’il aurait préféré ne jamais savoir. Mais il le fallait… Et s’il l’avait su, peut être que Sirius ne serait pas mort… Et maintenant, Dumbledore recommençait à lui cacher des choses, notamment les agissements de l’Ordre ! Et il l’obligeait à rester coincé dans la maison de son oncle et sa tante. Oh, ils le traitaient beaucoup mieux depuis que Maugrey les avait menacés : maintenant, ils faisaient réellement comme s’il n’existait pas. Ou presque ! La tante Pétunia lui laissait toujours de quoi manger dans une assiette qu’elle laissait au réfrigérateur pour qu’il puisse manger quand il en avait envie. Plus personne ne l’obligeait à venir à table ni à faire quoi que ce soit en fait. Dudley l’évitait encore plus qu’avant si c’était possible et l’oncle Vernon s’abstenait de tout commentaire sur lui ou ses parents et le laissait même lire le journal ou voir les informations à la télévision. Mais il n’avait pas le droit de sortir de la rue où habitaient son oncle et sa tante. Ordre de Dumbledore ! Il paraissait que la protection dont il bénéficiait ne fonctionnait pas sur un plus grand périmètre. Une protection qui fonctionnerait tant qu’il considérerait la maison de son oncle et de sa tante comme sa maison. Mais est-ce qu’il avait jamais considéré qu’il était chez lui ?
Harry s’écarta de la fenêtre et se laissa tomber sur son lit, les yeux tournés vers le plafond. Minuit venait de passer. Il avait seize ans et il n’aurait ni cartes, ni cadeaux, ni gâteaux d’anniversaire. Dumbledore ne se doutait-il pas de son état d’esprit ? Pourquoi cherchait-il à le rendre encore plus malheureux ? Harry se reprit. Dumbledore l’avait toujours soutenu. Il devait avoir ses raisons. Et puis maintenant, il savait qu’il n’était qu’un homme, un homme avec ses faiblesses… N’empêche, il aurait bien aimé que Dumbledore le laisse passer les vacances avec Ron et Hermione ou au moins, qu’il lui explique vraiment pourquoi il ne pouvait pas les voir ! Une fois de plus, Harry eut envie de quitter la maison des Dursley. Pour aller où ? Il n’en savait rien, cela n’avait pas d’importance. Ce qu’il voulait, c’était partir. Et pour une fois décider de sa vie ! Ne plus devoir obéir, ne plus être traité comme un enfant… Il se demanda une fois de plus ce qu’il se serait passé s’il était parti quand il avait crû que c’était lui qui avait attaqué Mr Weasley. Est-ce que Sirius serait mort quand même ? De toute manière, il savait bien qu’il ne pouvait pas partir. Car même s’il arrivait à tromper la vigilance de ses gardiens, dès qu’ils se seraient aperçus de son absence, ils se lanceraient tous à sa poursuite. Et il y aurait d’autres morts. Cédric Diggory, Sirius… qui serait le prochain ? Ron ? Hermione ? Il n’avait pas le droit de les mettre en danger. Enfin, encore plus en danger qu’ils ne l’étaient déjà. Et il n’avait pas le droit de les rendre fous d’inquiétude, eux et les autres ! Il ne pouvait pas partir, il ne pouvait pas fuir ses responsabilités. De plus, cela ne servait à rien. Pas plus que de se mettre en colère… Pourtant, peut être que s’il s’était mis en colère plus tôt, tout ce qui s’était passé en juin n’aurait pas eu lieu, peut être que Sirius serait encore là… Vivant, mais enfermé dans la maison de ses parents qu’ils détestaient, considéré comme l’un des pires criminels que l’Angleterre sorcière ait portés… Harry se demandait encore comment son parrain avait pu supporter cela pendant toute une année. Cela n’aurait pas pu durer, il s’en rendait compte. Sirius aurait fini par faire une bêtise ou par devenir fou. Il avait enduré tout cela pour lui, il le savait. Et son parrain avait passé une année enfermé dans sa tristesse et ses souvenirs. Ses souvenirs qui laissaient dans ses yeux bleus un voile de tristesse. Avoir perdu ses meilleurs amis, puis avoir été accusé de les avoir trahis et d’avoir tué treize personnes, avoir été enfermé pendant douze ans à Azkaban… Il y avait largement de quoi devenir fou ! Mais de là à penser que Sirius était mieux mort que vivant ! Harry se jura de réhabiliter son parrain. Un jour, tout le monde saurait la vérité, connaîtrait le nom du véritable traître ! Le véritable traître. Queudver ! Peter Petigrow ! Sans ce sale rat, bouillait Harry, ses parents serraient encore vivants ! Sans ce sale rat, Sirius n’aurait pas passer douze ans à Azkaban ! Sans ce sale rat… La colère de Harry retomba aussi vite qu’elle s’était levée pour se muer en une profonde tristesse. Et dire qu’il avait été l’un de leurs amis ! L’un des maraudeurs !
Harry mit la main dans sa valise pour prendre son livre sur le quidditch afin de se changer les idées. Il étouffa un cri et la ressortit brusquement. Il s’était coupé. La blessure n’était pas profonde, mais il s’était coupé avec le miroir. Le miroir de Sirius ! Le miroir qui aurait pu tout éviter, la preuve de sa responsabilité. Coupable ! lui criait sa blessure. Meurtrier ! hurlaient les morceaux du miroir brisé. Harry se laissa tomber au pied de son lit, le corps secoué d’un rire nerveux mêlé de sanglots. Au bout d’un temps qui lui sembla des heures, Harry parvint à se calmer. Il avait les mains poisseuses et il s’aperçut qu’elles étaient pleines de sang. Il s’était enfoncé les ongles dans les mains jusqu’à les faire saigner. Du sang sur les mains. La situation faillit lui faire perdre à nouveau ses esprits. Le jeune homme se força à se lever et sortit de sa chambre. Il avait besoin d’un verre d’eau. Assis seul dans la cuisine d’une propreté maniaque, il regardait le verre qu’il tenait à la main. Le verre lui rappelait l’été précédent quand Maugrey et les autres étaient venus le chercher, parce qu’il allait être jugé pour avoir utilisé la magie. A cause des détraqueurs que cette Ombrage lui avait envoyés ! Maugrey avait nettoyé son œil magique dans un verre comme celui-là. Contrairement à ce qu’il avait éprouvé à ce moment là, cette image ne le dégoûtait plus. Elle représentait une période meilleure : quand Sirius était encore vivant, quand il ne savait rien de la prophétie qui liait son destin… Harry reposa le verre. Le silence avait envahi toute la maison, à peine troublé par les ronflements de son oncle, à moins que ce soit ceux de son cousin. Est-ce qu’il pourrait jamais être heureux ? Est-ce que même s’il réussissait à vaincre Voldemort il pourrait se défaire de sa culpabilité ? Il était responsable de la mort de nombreuses personnes. Et en premier lieu de celle de ses propres parents. C’était parce que Voldemort voulait le tuer lui qu’il avait tué ses parents. Oui, il attirait les ennuis… et la mort ! Finalement, Dumbledore avait raison de l’obliger à rester seul, ainsi il risquerait moins d’entraîner d’autres personnes dans la mort. Peut être qu’il vaudrait mieux qu’il ne retourne pas à Poudlard… Cette idée le terrifia. Poudlard était sa maison, sa seule maison ! Et il avait besoin de ses amis, de la famille qu’il s’était créée. Et si Dumbledore ne le sortait pas bientôt du 4, Privet Drive, il allait le retrouver en pleine dépression nerveuse. Au mieux…
Harry remonta dans sa chambre d’un pas lent. Si cela continuait ainsi tout l’été, il allait devenir fou ou finir par se jeter par la fenêtre. Il fallait qu’il se reprenne ! Peut être qu’en essayant d’apprendre par cœur tous ses anciens livres de potions il réussirait à ne plus penser à ce qui s’était passé en juin. L’évocation des potions lui fit immédiatement penser à son professeur dans cette matière. Rogue ! Il le haïssait mais il était obligé de le reconnaître, il n’était pas responsable de la mort de Sirius et il avait eu raison… toutes les fois où il avait dit qu’il n’était qu’un petit prétentieux. Tout ça parce qu’il n’avait pas correctement fait ses exercices d’occlumencie ! Maintenant, il maîtrisait parfaitement la technique. Il s’était entraîné tous les jours depuis le début des vacances et il n’avait plus une seule fois rêvé qu’il était Voldemort ou d’autres choses de ce genre. Par contre, il lui arrivait encore d’avoir mal à sa cicatrice et de savoir ce que ressentait Voldemort. D’ailleurs, plus il s’était entraîné plus il avait pu constater que Voldemort était en colère. Il devait maintenant être incapable de lire en lui ou de lui montrer ce qu’il voulait qu’il voie. C’était déjà une victoire. Une victoire qui arrivait trop tard mais une victoire quand même…
Harry prit le miroir dans ces mains. Il pouvait encore distinguer son image dans les morceaux brisés. Des tas de petits Harry qui étaient comme des juges. _ Sirius. Sirius Black ! Harry se traita d’idiot. Sirius était mort, il ne pouvait pas lui répondre. Soudain dans le miroir apparut une vague figure féminine dont on ne voyait presque que les yeux. Les mêmes yeux bleus voilés de tristesse que ceux de Sirius. De surprise, Harry lâcha le miroir qui tomba silencieusement sur son lit. Quand il y porta à nouveau les yeux, l’image avait disparu ; elle n’était pas restée plus d’un dixième de seconde. Harry le reprit dans ses mains et répéta ses paroles. Mais dans le miroir, il ne voyait que son image qui se répétait. Harry commença à douter de la réalité de ce qu’il avait vu. Si en plus du reste, il avait des visions, c’était qu’il était réellement devenu fou. Est-ce qu’il y avait un service spécial à Sainte-Mangouste pour les sorciers fous ?
Le mois d’août s’écoula lentement. Chaque jour, Harry devait lutter pour ne pas devenir fou et la nuit, c’était encore pire. Il ne se passait pas une nuit sans qu’il revoie ce qui s’était passé au ministère, sans qu’il revoie la mort de Sirius. Harry avait peur de s’endormir, il ne voulait pas revoir ces images une fois de plus, il ne le supporterait pas ! C’était dans cet état d’esprit que Harry se leva ce matin-là, une semaine avant la rentrée. Il était encore très tôt et personne n’était levé dans la maison. Harry descendit dans la cuisine et alluma la radio pour écouter les informations. Le jeune homme s’étonna une fois de plus. Aucun meurtre étrange, enlèvement, attentat n’était annoncé. Pourtant, maintenant que toute la communauté sorcière était au courant du retour de Voldemort, celui-ci n’avait plus de raison de se cacher. Harry ne comprenait pas qu’il n’ait encore tué personne. A moins qu’il ne se soit attaqué qu’à des sorciers et pas encore aux moldus. Mais cela aussi, c’était bizarre, ce n’était pas le genre de Voldemort. Il devait prévoir quelque chose et c’était sûrement mauvais signe pour eux. Pour lui ! Harry se prépara son petit déjeuner, mais il n’avait pas faim. Pour être exact, il n’avait pas faim depuis la mort de Sirius. Mais il ne fallait pas qu’il se laisse dépérir ; il n’en avait pas le droit ! Harry aperçut le facteur par la fenêtre de la cuisine. Il sortit donc prendre le courrier. A sa grande surprise, il y avait une lettre pour lui. Une lettre parfaitement normale adressée à Mr Harry Potter, chez Mr et Mme Dursley, 4 Privet Drive… Harry la tourna et la retourna mais il n’y avait aucune indication sur son expéditeur. Peut être était-ce une lettre d’Hermione, pensa-t-il. Il y avait peu de risque que Voldemort s’intéresse au courrier moldu et Hermione venait d’une famille moldue. Harry l’ouvrit précipitamment. Il n’y trouva qu’une simple feuille qui semblait avoir été tapée à l’ordinateur : Harry, Quelqu’un viendra te chercher aujourd’hui à dix heures. Tiens-toi prêt et n’oublie pas d’informer ton oncle et ta tante de ton départ. Dumbledore. Harry faillit crier de dépit. Il n’y avait rien d’autre, pas un mot de plus. Aucune explication, aucune consolation ! Il sentit monter la colère en lui, la même que celle de l’année précédente. Mais elle retomba aussitôt. Cela ne servait à rien de s’énerver. Si Dumbledore avait écrit si peu, c’était sans doute parce qu’il craignait que la lettre ne soit interceptée. Le plus important, c’était que quelqu’un allait venir le chercher, qu’il allait quitter les Dursley ! Pour aller où ? Harry n’en avait pas la moindre idée mais au moins, il serait avec des sorciers. Et de toute manière, la rentrée n’était plus que dans une semaine. Calme mais toujours aussi triste, Harry remonta préparer ses bagages. Quand il redescendit, il croisa son oncle. _ Quelqu’un va venir me chercher ce matin, lui dit-il. _ C’est pas trop tôt, grommela Vernon. A croire qu’ils t’avaient oublié ! Harry ne répliqua rien. Il pensait exactement la même chose. | |
| | | Cassie Black Admin Dictato-Mégalo
Nombre de messages : 1791 Age : 37 Localisation : 12 square Grimmaurd (dans les bras de Sirius Black) Date d'inscription : 28/11/2004
| Sujet: Re: harry potter et les cicatrices du passé Sam 11 Déc - 17:41 | |
| Bon, je vais avoir de la lecture Excuse moi, j'ai pas commencé, mais je te dirai mon avis | |
| | | Tusaisqui Apprentie Infirmière Maraudeur
Nombre de messages : 32 Localisation : Poudlard, maison: Gryffondor, sous la protection de Dumbledore. Date d'inscription : 13/12/2004
| Sujet: Re: harry potter et les cicatrices du passé Mar 14 Déc - 13:14 | |
| J'adore ta fic Victoire!!!! Elle est vraiment très bien écrite: chapitres longs, certains mélancoliques, d'autres plein d'action, personnages intrigants, histoire captivante. J'attends avec impatience le chapitre 14!!!! | |
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| Sujet: Re: harry potter et les cicatrices du passé | |
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| | | | harry potter et les cicatrices du passé | |
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